samedi 14 décembre 2013

Je dis ça, je dis rien

L'anticyclone et les belles journées que nous connaissons ces derniers semaines provoquent, ces jours-ci, des pics de pollution. Les villes sont couvertes d'inquiétants nuages de particules fines. Notre santé risque d'en souffrir, nous dit-on. Les pouvoirs publics prennent les mesures qu'ils peuvent: ici ou là, ils diminuent les vitesses maximales sur les routes. On pourrait imaginer un système de taxation des véhicules au kilomètre parcouru. De quoi inciter à un transfert vers des modes plus respectueux de l'environnement et financer ceux-ci. On l'appelerait écotaxe. C'est pas une bonne idée en ces temps pollués?

1 commentaire:

Grégoire a dit…

Ces modes de transport qui bénéficient de transferts existent déjà (mais vous le saviez). Il y en a un qui parcourt tout le pays et dont le service, quand il n'est pas sous le coup d'une grève, fut-elle annoncée, laisse à désirer. Retards, annulations de trains... Même si mes horaires quelque peu aléatoires sont difficilement compatibles avec la régularité supposée des transports en commun, le retard de l'un (bus) me ferait rater la correspondance de l'autre (train), et vice et versa... Alors, j'utilise ma voiture 15 km par jour (A-R, essence).
La douceur actuelle du climat me console d'au moins une chose : l'absence de verglas, car les chutes qui s'en suivent ne sont pas toutes sans conséquences...